LES SEISMES

LARCHET Paul                                                                                                                                     Lycée Lavoisier

 

Synthèse personnelle

 

 

Notre groupe est composé de Adam POUPARD, Léo CICAL, et de moi-même. Nous sommes tous les trois en 1eS4. Notre TPE se rattche aux thèmes de l’aléatoire, du risque et du prévisible. Les disciplines SVT et Histoire-Géographie nous étaient imposées, et nous trouvions que ces deux matières étaient assez difficiles à lier dans un TPE (nous nous attendions à avoir un sujet plus “classique” pour une filière scientifique, comme Physique-Chimie/SVT par exemple). Mme Labbé-Chevaley et M. Tourret nous accompagnaient tout au long de nos recherches.

 

Après plusieurs propositions de sujet, nous avons finalement décidé de travailler sur les séismes et le risque sismique. Notre problématique était alors : “Les inégalités Nord-Sud sont-elles toujours aussi pertinentes dans le lutte face aux risques sismiques ?”

 

Nous voulions avant tout travailler sur un sujet qui nous plaisait et nous intéressait un minimum. La contrainte des disciplines imposées nous a obligés à restreindre nos différentes envies de sujet (dans l’idéal, nous aurions aimé travailler sur les fluides non-newtoniens).

 

Nous avons donc premièrement pensé au gaz de schiste : en effet, nous aurions pu parler de la formation de cette matière première, et des conséquences sur l’économie française et américaine, par exemple (avec la dépendance énergétique qui en découle). Cependant, ce sujet ne nous plaisait pas à tous (surtout à moi). Nous avons donc finalement choisi de travailler sur les séismes. Nous avons alors noté toutes les idées qui nous venaient spontanément sur le sujet (nous avions fait de même avec le gaz de schiste), et nous avons ainsi rapidement trouvé notre plan.

 

Nous avons décidé de faire chacun une grande partie du plan, puisque nous en avions trois. Dans l’ordre, Adam s’est occupé de la définition d’un séisme, j’ai travaillé sur la réaction des communautés, et Léo a développé la partie sur la prévention des séismes. Nous avions aussi choisi de faire l’introduction et la conclusion ensemble, pendant les heures dédiées au travail sur le TPE au lycée. Nous travaillons grâce à l’outil “google docs”, qui nous a permis de mettre nos productions en commun dès le début. Nous pouvions ainsi suivre l’avancée générale du TPE,et ainsi assurer une cohérence entre nos différentes parties.

 

Nous avons réalisé plusieurs études de cas différentes (avec des pays de richesse et de taille différentes) que nous avons cité comme exemple au long de nos démonstrations. C’est Adam et Léo qui se sont occupés de rédiger les études de cas.

 

Il était parfois difficile de trouver un juste milieu entre les deux disciplines (nous voulions éviter d’avoir un rendu qui en privilégie une). Le sujet des séismes étant très scientifique, il fallait veiller à rattacher des notions de géographies le plus possible.

 

J’ai eu la chance de pouvoir intégrer ce groupe, qui a parfaitement fonctionné tout au long de l’année, et avec lequel je sentais que le travail progressait chaque jour. Cette étude sur les séismes m’a permis de me rendre compte de la complexité de la lutte face aux séismes, et la prévision de ces derniers. En effet, lors de mon séjour au Japon en 2010-2011, je m’étais demandé comment il était possible qu’aujourd’hui encore, un séisme puisse avoir autant de répercussions sur l’harmonie d’un pays, et par extension, du monde entier.

 

Je tiens également à remercier Sophie Lambotte, qui a bien voulu accepter de répondre à nos questions, en tant que responsable du réseau national de surveillance sismique français, ainsi que Pascal Bernard, chercheur à l’IPGP, qui a également accepté de nous aider. Madame Labbé-Chevaley, professeur de SVT et Monsieur Tourret, professeur d’histoire-géographie, nous ont énormément aidé, et je les remercie.