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Les conséquences désastreuses du séisme de 2010 d'Haïti étaient-elles évitables ?

C'est en effet une question que certains scientifiques se sont posées.

Les satellites avaient récolté des informations prouvant l'arrivée d'un séisme dans la zone. Les plaques tectoniques étaient en effet en mouvement, et la zone auarait du être considérée comme une zone à risque sismique majeur.

Nous avons posé la question à Sophie Lambotte,  responsable du Réseau national de surveillance sismique :

"Un aléa sismique élevé, associé à la faille sur laquelle a eu lieu le séisme, a été mentionné par plusieurs chercheurs avant le séisme, mais avec l'incertitude de savoir quand exactement: demain, dans un mois, dans 2 ans ou encore dans 50 ans voir plus. Les dégats auraient pu être réduit si des mesures parasismiques pour les constructions étaient en vigueur et respectées, et si la concentration de population dans la capitale n'était pas si élevée. Dans un monde idéal, oui. Dans le monde réel, la réponse n'est pas si évidente, vue la situation économique du pays, et étant donné que le risque sismique n'est probablement pas le risque le plus élevé dans le pays."

Ainsi, à cause de ses faibles richesses, Haïti n'a pu se préparer à un séisme d'aussi grande envergure, alors que l'île avait été placée dans les zones à risques.

Tout n'est cependant pas si simple.

Analysons maintenant les cas des Etats-Unis et de la Turquie,  un état du "Nord" et un pays émergeant du "Sud", se préparant pour la venue d'un séisme d'une grande ampleur.

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Léo CICAL

Adam POUPARD

Paul LARCHET

Travail personnel encadré pour le lycée Lavoisier 2015-2016

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